Qui se souvient encore de la fin des « barons allemands de l’acier » ? Piégés par leur propre arrogance, incapables de se remettre en cause et imposant le maintien de structures sclérosées, ils ont sombré corps et biens en entraînant avec eux la chute de la fameuse firme Thyssen-Krupp. Pour certains commentateurs allemands, la comparaison avec la situation de Volkswagen aujourd’hui est appropriée. Deux managers considérés comme des dieux ou presque, Ferdinand Piech et Martin Winterkorn, ont mené leur firme au bord de l’abîme. Lire la suite
Le crépuscule des dieux de l’automobile
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